Quand Rome inventait le populisme Raphael Doan livre

Quand Rome inventait le populisme

Livres, Raphael Doan

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Quand Rome inventait le populisme par Raphael Doan ont été vendues pour 19.00 chaque exemplaire. Le livre publié par Les éditions du Cerf (31 octobre 2019). Il contient 173 pages pages et classé dans le genre genre. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 4 des lecteurs 5. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.

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Quand Rome inventait le populisme Raphael Doan livre - Que n'a pas inventé la Rome antique ? Voici le tableau inédit et vivant des populismes qui ont déstabilisé la République. Une rétrospection enjouée et éclairante par un agrégé de lettres classiques, âgé de 26 ans. Il y a du Cicéron chez Emmanuel Macron, et du Clodius chez Donald Trump. C'est en historien de l'Antiquité que Raphaël Doan démontre que nous n'avons pas inventé le populisme. Les Romains, à la fin de la République, connaissent une lutte à mort entre ce qu'ils appellent les populares et les optimates. Appel au peuple, goût des solutions radicales, recours à la figure de l'homme fort : ces tribuns en toges et en sandales ressemblent trait pour trait à ceux du xxie siècle. Dans cette époque, avec son sénat et sa plèbe, ses discours et ses émeutes, ses guerres et ses violences, tout est d'actualité. Y compris la question essentielle : le populisme est-il le bouclier des humbles contre une élite sourde à ses revendications, ou le futur glaive des tyrans contre la liberté ? Un premier essai époustouflant, écrit avec une plume exemplaire.

Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Quand Rome inventait le populisme. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.

Ce livre d’histoire romaine s’intéresse à la manière dont le populisme des populares romains est né et s’est opposé aux élites conservatrices romaines (optimates) qui voulaient protéger la République. Les populares répondaient, de manière plus ou moins adéquate, aux demandes d’une population romaine plébéienne durement touchée par les inégalités au sein de la République ; les optimates se posaient en défenseurs d’institutions somme toute démocratiques qui étaient d’après eux menacées par les «populistes» et tentent de tenir compte de certaines revendications plébéiennes (la mémoire des Gracques est ainsi saluée par de nombreux optimates). Les élites avaient raison sur un point au moins : César puis Auguste mettront fin à la République.Cet essai a une plume facile, il nous montre les équivalents entre notre situation politique contemporaine et celle de Rome. Il me semble assez rigoureux pour résister à la critique d’anachronisme et il devrait à la fois plaire et instruire. Les comparaisons entre Cicéron et Emmanuel Macron sont assez subtiles et très éclairantes sur les deux personnages à la fois par exemple. Je recommande vivement cet essai. Sous ces tuniques romaines, battent des cœurs populistes et élitistes comme les nôtres. Le prix me paraît peut-être un peu élevé peut-être compte tenu du nombre de pages - mais le format et la couverture sont assez élégants et surtout le contenu est très intéressant.

de Raphael Doan

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